La simulation VR est l’une des innovations les plus significatives dans le domaine de l’ingénierie. Elle est parvenue à révolutionner la manière dont les ingénieurs développent de nouveaux produits. Dans cet article, nous aborderons en détail les avantages d’une telle technologie pour les tests de prototypes.
Explorez comment les simulations VR accélèrent le développement de nouveaux produits
La VR (Virtual Reality ou réalité virtuelle) permet de tester les prototypes à un stade précoce du développement, en amont de la fabrication de versions physiques. Ainsi, les ingénieurs peuvent détecter et corriger les problèmes de conception potentiels plus tôt. Le nombre de cycles de développement nécessaires s’en trouve alors réduit et la mise sur le marché des produits finaux accélérée.
La même technologie, d’après le site Sky-real.com, facilite considérablement la collaboration entre les équipes impliquées. Les ingénieurs, les designers, les testeurs et les clients peuvent tous interagir avec les prototypes virtuels. Ils peuvent collaborer, échanger des idées et résoudre des problèmes en temps réel, sans se soucier des contraintes géographiques. Chacun peut interagir avec chaque prototype dans un environnement virtuel immersif et réaliste qui reproduit fidèlement les conditions d’utilisation.
Par ailleurs, les simulations VR permettent de tester des scénarios difficiles à reproduire dans le monde réel. Les testeurs peuvent ainsi anticiper les problèmes potentiels et optimiser la conception en conséquence. La réalité virtuelle peut en plus être utilisée dans une optique de formation sur les nouveaux produits. Les techniciens et les ingénieurs peuvent pratiquer des procédures complexes dans un environnement virtuel avant de les appliquer dans la réalité.
Découvrez les bénéfices économiques des tests de prototypes via la réalité virtuelle
Grâce à la VR, les ingénieurs peuvent tester différentes configurations sans avoir à fabriquer de multiples prototypes physiques. Ils peuvent ainsi réduire au strict minimum les dépenses liées aux matériaux. La même technologie réduit les itérations et, donc, le temps et l’argent dépensés pour chaque version de prototype. Les ingénieurs se permettent d’effectuer des tests virtuels, de détecter à temps les défauts et d’apporter des modifications avant même de créer un modèle physique.
De plus, ils ont la possibilité d’essayer différentes configurations et paramètres afin de maximiser les performances du produit. La VR leur permet d’ajuster virtuellement des variables telles que la résistance, l’efficacité, la durabilité… Cela se traduit par une optimisation de l’article final sans coûts supplémentaires. Puisque la VR réduit le temps nécessaire pour tester et valider les prototypes, elle accélère le cycle de développement global. Chaque produit peut alors être mis sur le marché plus rapidement. Cela se solde bien entendu par des revenus précoces et une meilleure rentabilité.
Comment la VR peut réduire les erreurs en phase de prototypage ?
La VR permet aux ingénieurs de visualiser les prototypes en 3D, avec un niveau de détail et de réalisme très élevé. Ils peuvent alors explorer chaque composant et identifier plus facilement les incohérences ainsi que les erreurs de conception. Qui plus est, les ingénieurs ont la possibilité d’interagir avec chaque prototype virtuel. Ils peuvent manipuler des composants, tester des mécanismes, simuler des assemblages et contrôler le fonctionnement global.
Ce faisant, ils peuvent détecter des erreurs de montage, des interférences ou des problèmes de compatibilité avant même que la fabrication physique ne s’opère. La réalité virtuelle permet en plus de simuler des conditions réelles d’utilisation. Elle peut alors réduire les risques d’erreurs liés à des scénarios non anticipés.